Waouw je sais faire des scrollbars colorées !!!
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MAGAZINES

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          En novembre 1995 paraît en kiosque le magazine de petit format " Yoko ".
Il se veut la bible des mangas et publie ce qu'il appelle déjà du " manga francais " : Des histoires courtes de jeunes dessinateurs issus du fanzinat.
          On commence a y trouver certains noms de ceux qui tenteront la grande aventure.
Comme  Aurore Demilly, Maeva Pierre et bien d'autres.....
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          Ce sympatique magazine mélange étrangement " grand public " et " érotisme "avec des bandes " coquines et allumées "
Ce qui lui vaut certainement quelques avertissements, il finit par renoncer à l'érotisme, perd des lecteurs et disparaît.
          Il a été l'un des rares à faire confiance à une nouvelle génération de mangaphiles pour publier leurs premières planches.
         Début 1998, une nouvelle équipe tente d’en faire renaitre l’esprit dans un nouveau bimensuel   “ Top Manga “ qui disparaît rapidement.

          Dès les années 90, des dessinateurs nourris aux mangas entrent dans la carrière.
Ils doivent " faire avec " le format " franco-belge ".
" Manga " devient un argument publicitaire.
         On décrit "le rythme, la lisibilité et l'efficacité des mangas " de la bd noir et blanc de 134 pages " Shekawati " (Pierre-Yves Gabrion - vents d'ouest).
C’est aussi une des premières BD assistée par ordinateur : un second argument publicitaire.
- " HK " ( Jean-David Morvan,Trantkat) est presenté à l'époque comme un métissage de ces deux styles.
- " Nomad " (Jean-David Morvan, Sylvain Savoia) est prépublié dans kameha comme " un manga à la francaise ".

          En Italie (1997) les auteurs Alessandro Barbucci et Barbara Canepa, sont conscients du manque de bd pour adolescentes.
Ils créent, sous le label Disney et malgré les doutes de la direction, une série aux aspects de " manga-like ".  
Leurs Personnages, Cinq adolescentes, sont confrontées aux forces du mal mais aussi à des problèmes personnels.
          Ils  travaillent sur le premier chapitre avant de partir vers d'autres cieux et y publier " sky doll ".

          La bande parait dans " Minnie mag " et cartonne au point que le magazine prend le nom de ses nouvelles heroïnes en 2003.

" W.I.T.CH "

          La série sera même introduite au Japon.
En manga sous le crayon de la dessinatrice Iruko Iida et publiée sous cette forme en France en “ Witch Hors-série “.

          Il ne manquait plus qu'un magazine de prépublication pour les auteurs connaissant bien les codes du manga.
En 2006, le magazine Shogun (4euros95) s'installe sur le créneaux
Il finit par céder la place aux albums.
Et tente de survivre un temps grâce la prépublication gratuite sur internet.

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On peut encore feuilleter quatre numéros du mag numérique sur la page " extrait " de Manga-new, dans la case “ Humanoïdes associés “

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