Dès 1721, la censure s'abat sur les images, toute la production doit être approuvée par le Saint-Synode et celles qui ne sont pas conformes sont confisquées. Il y a des choses en Russie avec lesquelles on ne rigole pas.
Pire, sous le tzar Nicolas 1er, non seulement les loubki doivent porter un label de la censure, mais en 1851 ordre est donné de récupérer et détruire toutes les anciennes plaques non censurées. Ce sont, bien sûr, les plus mordantes.
C'est tout un riche patrimoine de l'ancienne Russie qui disparait.
|